lundi 30 juin 2014

L’importance de l’entourage et son influence sur la motivation


Quand on décide de se mettre sérieusement au sport, cela suppose d’avoir beaucoup de volonté, de motivation et de détermination. Et à moins de vivre en ermite et de ne fréquenter personne, notre entourage a un rôle véritablement important à jouer dans notre chemin vers la « perfection » physique. Le rôle de notre entourage proche est presque aussi important que notre propre rôle et que notre implication. Quand on se lance dans ce genre d’aventure, on décide de changer de mode de vie, on choisit de bouleverser nos habitudes et d’en adopter de nouvelles et si notre entourage ne nous encourage pas et ne nous soutient pas, les risques de baisser les bras et d’abandonner vont augmenter! Se sentir soutenu est très important pour le moral !
Voilà pourquoi il est primordial de parler de notre volonté de changement à nos proches et non pas de la cacher ou d’en avoir honte ! Ils pourront alors nous encourager, nous supporter et nous féliciter dès que les premiers résultats seront visibles ! N’entamez pas ce genre de changements sans en parler autour de vous, car si cela peut permettre de recevoir des encouragements et des félicitations, cela permettra aussi d’éloigner les esprits négatifs et les personnes qui ne souhaitent pas vous voir évoluer et vous améliorer !

Lorsque j’ai commencé à courir, mon père m’accompagnait, c’est d’ailleurs lui qui m’avait poussé à commencer (retrouvez mes débuts en course à pied), il me soutenait et me soutient toujours à chacun de mes entrainements. Aujourd’hui, il a lui aussi fait de grands progrès et court de plus en plus souvent en s’améliorant un peu plus à chaque fois, on échange d’ailleurs nos progrès grâce notre application running (retrouvez mes recommandations apps de running) via mail ou texto ! Et nous sommes très fiers l’un de l’autre à chaque fois que nous recevons nos résultats ! 
Ma mère, elle, fait du sport en salle et n’en parle pas trop à la maison, par contre c’est elle qui prépare nos repas et qui m’aide à tenir le coup dans mon régime alimentaire ! Car non, ce n’est pas le sport qui me fait le plus peur et qui pourrait me faire chavirer mais bien la nourriture ! Je suis une grande gourmande et j’adore manger, alors quand il s’agit de manger de la volaille et des légumes à presque tous les repas, ça me rend parfois (très souvent) triste (retrouvez mon régime alimentaire et mes recettes préférées) et c’est elle qui use de créativité pour varier les plaisirs et me régaler à tous les repas ! 
Mon père et ma mère ont un rôle très important dans mon changement de vie et je leur dois beaucoup car sans leur soutien, je n’en serais pas là où je suis aujourd’hui. Ils ne sont pas les seuls à me soutenir, et celui qui m’encourage le plus et qui me soutient même quand je râle et que je me décourage, c’est mon chéri. Lui, est très sportif, il me soutient et me dit qu’il est fier de moi tous les jours, et heureusement car sans lui, j’aurai peut-être lâché qui sait ! Être avec quelqu’un de très sportif me motive beaucoup, surtout qu’il m’aide avec mes entrainements et dès que j’ai des questions je sais qu’il aura la réponse ! Et puis, même si quand on entame ce genre de changement, on le fait pour soi, le fait qu’il soit là à mes côtés fait que je le fais un peu pour lui aussi, j’aime le rendre fier et je fais tout (ou presque) pour qu’il le soit.

Et si vous êtes comme moi, un peu accro aux réseaux sociaux, n’hésitez pas à poster des photos de vous avant/pendant/après vos entrainements !! Vos amis pourront ainsi voir vos progrès et vous encourager en direct ! N’hésitez pas à me suivre sur instagram et à partager en commentaire vos profils! J'irai les voir avec grand plaisir! 

Et n'oubliez pas, restez motivés et remerciez votre entourage de vous soutenir car sans eux, vous n'en seriez peut-être pas là où vous êtes! 

dimanche 29 juin 2014

Coliflower crust pizza

… Ou la fausse pizza

Cette recette est le meilleur moyen que j’ai trouvé pour manger une pizza sans manger de glucides ! Une espèce de fausse pizza à base de chou-fleur, ça peut paraître ragoutant de prime abord, c’est sûr, mais j’ai trouvé ça plutôt sympa, surtout qu’on peut varier la recette pour en faire des petits apéritifs ou faire manger des légumes cachés à des enfants !

Les ingrédients pour une pizza :

  • Un chou-fleur
  • Un œuf
  • Du fromage râpé (emmental, parmesan, mozzarella ou même du chèvre frais)
  • Des herbes et des épices (origan, paprika, ce que vous voulez, c’est ce qui servira à aromatiser la pâte si vous le souhaitez mais vous pouvez aussi vous en passez)
  • Du coulis de tomate
  • Une tomate
  • Un oignon
  • Une gousse d’ail
  • De quoi agrémenter votre pizza! 




Pour commencer, il faut retirer toutes les feuilles vertes du chou et séparer les têtes avant de les réduire en une sorte de poudre au mixer. Ensuite il faut la mettre dans une casserole avec un peu d’eau (juste histoire de la mouiller un peu) à feu moyen pendant 5 à 6 minutes en tournant de temps en temps et n’oubliez pas de saler un peu !
Laisser refroidir sur le bord de votre fenêtre pour plus de rapidité (oui oui c’est ce que j’ai fait), il vous faut ensuite prendre un torchon propre et y placer la « purée » de chou froide et presser presser presser jusqu’à ce que toute l’eau s’échappe. Cette étape est très importante pour le croustillant de la pizza ! C’est même PRIMORDIAL ! 

Lorsque la purée est bien pressée, il faut la mélanger dans un saladier avec l’œuf et le fromage choisi (j’avais essayé avec une poignée de gruyère râpé mais on peut y mettre du parmesan ou deux cuillères à soupe de chèvre frais ou bien encore du saint-môret. C’est le fromage qui aidera le chou à avoir une bonne consistance et à bien se tenir) et on y ajoute les épices et les herbes qu’on a choisi (pour mon premier essai je n’avais rien ajouté car je n’avais rien mais avec un peu d’origan et de paprika je suis sûre que ça doit être excellent !).

Sur une plaque de cuisson couverte de papier sulfurisé, on étale la mixture en rond pour lui donner une forme de pizza, j’avais fait des bords un peu plus épais pour vraiment lui donner l’apparence d’une pizza et hop on enfourne dans un four préchauffé à 200/210 degrés pendant 30 à 40 minutes (tout dépend de votre four). Il faut que la pizza brunisse mais surtout pas que ça brûle, elle va durcir petit à petit grâce au fromage et à l’œuf.

Pendant que la pizza cuit, on prépare la sauce tomate, j’ai fait revenir un oignon et de l’ail dans de l’huile d’olive et j’y ai rajouté la tomate et le coulis, sinon on peut très bien utiliser de la sauce toute prête ou bien sa propre recette ! N’hésitez pas à la partager en commentaire, je me ferais un plaisir d’essayer vos recettes !
Une fois la « pizza » cuite, il suffit de la préparer à votre convenance : sauce, fromage, jambon, poulet, champignons… Pour ma première j’ai fait simple : de la sauce, du gruyère râpé et du jambon et on enfourne 5 à 10 minutes de plus pour faire fondre le fromage et cuire les autres ingrédients.

A déguster dès la sortie du four !


J’ai trouvé ça vraiment sympa comme goût et puis ça change ! Après je ne vous conseille pas cette recette si vous êtes fragile, c’est quand même un chou entier par personne et c’est plutôt lourd à digérer !
Pour en faire des apéros sympas, on peut étaler la pâte en rectangle, la couvrir de fromage pour que ça fonde et que ça croustille et détailler la pizza en petits bâtonnets ! 

Bon appétit !

Valeurs énergétiques de cette pizza: 

  • 1 petit chou-fleur (1kg) représente 250 calories, 20gr de protéines, 50 gr de glucides et 3gr de lipides
  • 1 oeuf représente 50 calories, 11gr de protéines, 0gr de glucides et 0gr de lipides
  • 1 poignée de fromage râpé (30gr) représente 114 calories, 8gr de protéines, 0gr de glucides et 9 gr de lipides
  • La sauce tomate représente environ 40 calories, 1gr de protéines, 5gr de glucides et 0gr de lipides.
  • 1 poignée de fromage râpé et une tranche de jambon représentent 200 calories, 17gr de protéines, Ogr de glucides et 14gr de lipides.

Une coliflower crus pizza représente alors 654 calories57gr de protéines55gr de glucides et 26gr de lipides, ce qui en fait une recette très riche même si elle l'est beaucoup moins qu'une pizza traditionnelle. 


Ma première course!

crédits © AMSL Frejus
Quand j'ai commencé à courir, je n'étais pas vraiment dans l'optique de participer à des courses et de me mettre en compétition face à d'autres coureurs, mais au fil des semaines mon esprit de compétition est ressorti et après avoir vu le prospectus de la course à la salle, je me suis dit que courir en compétition serait une bonne idée, un espèce de challenge, un défi lancé à moi-même. C'est donc pleine de motivation et de détermination que je me suis inscrite aux 10km de Frejus! 

Je me suis inscrite environ deux semaines avant, et à chaque footing j'y pensais, je pensais à mon temps, à ma préparation, j'étais super excitée à l'idée de la faire! Et le grand jour arriva enfin!
Vous allez surement vous demander comment je m'y suis préparé, et bien je dois avouer que ma préparation a été plutôt décevante car il n'y en a pas eu tout simplement... J'ai continué à faire mes entrainements (et pas de manière très poussée) et je n'ai pas mangé quelque chose de spécifique pour m'y préparer. J'ai seulement massé mes chevilles avec du flector en gel le matin de la course et une heure avant car j'avais une douleur, mais rien de plus. Je vous donnerai tout de même des conseils pour bien préparer votre 10km

Le départ de la course était prévu à 20h, nous sommes arrivés environ 45 minutes avant avec mon chéri qui m'accompagnait pour me soutenir mais qui ne pouvait malheureusement pas y participer à cause de sa tendinite (retrouvez mon article sur l'importance de l'entourage), je ne savais pas du tout comment se déroulait une course et j'avais beaucoup d'appréhension, le stress montait et j'avais même peur de ne pas réussir à la courir en entier. Après avoir demandé à d'autres coureurs, nous nous sommes retrouvés dans la queue pour le retrait des brassards, j'ai donc eu la chance de me voir attribuer le numéro 491. Le brassard était attaché (à l'aide d'épingles à nourrice que l'un des organisateurs m'a gracieusement offert!), la course allait commencer dans peu de temps, et j'étais toujours aussi stressée! Moi qui ne m'échauffe jamais, j'ai décidé de m'échauffer quand même, j'ai couru un peu, fait des montées de genoux, des talons-fesses et des petits étirements de dérouillage histoire d'être fraiche et dispo pour courir ce quart de marathon! Découvrez ma routine d'échauffement


19h45, plus que 15 minutes avant le départ. Le stress monte, mon chéri me fait boire quelques gorgées d'eau, un bisou d'encouragement et je me place en tête de peloton. Lunettes de soleil sur le nez, écouteurs dans les oreilles, tout était prêt. Mais coup de stress, quelques minutes avant 20h, ma musique me lâche, je gère plutôt vite ce contretemps et le coup de feu marque le départ de la course. C'est parti, on se lance tous, je me fait doubler de tous les côtés, les gens courent à un rythme effréné, et j'ai été, malgré moi, prise dans le rythme, mon coeur s'est mis à battre bien plus vite que d'habitude, mais très vite je retrouve mon rythme habituel et j'essaie d'oublier les autres. Le premier kilomètre arrive très vite, le parcours était très sympa, de la route et du bord de mer, de quoi se requinquer, mais au bout d'un moment je sens la fatigue venir... Heureusement, un stand de ravitaillement était prévu un peu après le 5ème kilomètre, je me suis jetée sur un verre d'eau que j'ai avalé et un autre que je me suis littéralement jetée dessus!!! La fin arrivait à grands pas, mon app me parlait au fil des kilomètres et j'étais plutôt contente du temps qu'elle me donnait mais à partir de la moitié du 8ème kilomètre j'ai commencé à avoir beaucoup de mal, je n'avais jamais couru autant. Mais je n'ai rien lâché et tout en doublant des gens qui marchaient ou qui s'étaient arrêté, j'ai senti un regain d'énergie et je me suis donnée à fond, mais c'est seulement quand j'ai vu la ligne d'arrivée que j'ai eu l'impression que mon corps flottait, mes pieds courraient de plus en plus vite et finalement j'ai franchi la ligne au bout d'une heure et 9 secondes! Je n'en pouvais plus, je ressemblais à une tomate qui avait trop pris le soleil, je transpirais, j'avais mal aux épaules, aux bras, aux jambes mais j'étais heureuse, je me sentais accomplie. 

Ce 10km était ma première course et surement pas ma dernière, j'ai déjà hâte de participer de nouveau à une course, je vais d'ailleurs de ce pas aller en chercher une nouvelle et essayer de trouver les résultats du classement! 

samedi 28 juin 2014

Pourquoi la course à pied ?

Au lycée j’étais la fille la moins sportive du monde, celle qui se cachait dans les vestiaires, celle qui simulait un mal de crâne, un mal de ventre, une tendinite et j’ai même réussi à échapper à l’épreuve de sport au bac ! J’étais devenue une pro dans l’art de ne pas faire de sport, je donnais le meilleur de moi-même pour échapper à ces deux douloureuses heures de la semaine… Je n’avais pourtant pas toujours été ce gros loukoum qui refusait de bouger ses fesses, enfant je participais à de nombreuses activités sportives, et j’ai fait acheter à mes parents la panoplie de la parfaite petite sportive… En passant des chaussons de danse aux bottes d’équitation sans oublier la jupette de tennis, vous l’aurez compris mes parents ont dépensé des fortunes et tous ces fabuleux accessoires dont j’étais si fière au passage en caisse sont finalement restés au placard.
Il faut dire aussi que mes parents n'étaient pas sportifs du tout, et bon je préférais le confort de mon canapé plutôt que celui de mes baskets.

Comment une antisportive comme moi s’est-elle mise à courir 5 à 6 fois par semaine ?

Mon engouement, mon enthousiasme pour le sport ne s’est révélé que très récemment, puisque mon premier footing remonte au 11 avril dernier… Et non, je ne me suis pas motivée comme ça d’un coup par l’opération du saint esprit, non, non mon père m’y a trainé ! Je râlais, je trainais des pieds, je voulais « juste marcher » et au final j’ai couru ! Peu, puisqu’on a dû courir 1km2 ou 1km3 mais bon pour une première fois c’était pas mal… Et j’étais plutôt fière ! Surtout que je venais de rencontrer quelqu’un de très sportif qui m’encourageait à continuer dans cette voie et qui n’a cessé de me donner de précieux conseils depuis (Retrouvez d’ailleurs mon article sur l’importance et l’influence de l’entourage sur la motivation). Tout me poussait donc à continuer dans cette voie, je voulais perdre mes kilos en trop, avoir une meilleure hygiène de vie, faire quelque chose de bien avec mon corps. J’ai donc décidé d’aller courir le surlendemain, et le lendemain du surlendemain, et ainsi de suite, jusqu’au jour où j’ai finalement réussi à boucler mon parcours en courant seulement, je ne marchais plus. J’avais réussi à courir environ 4,8km sans m’arrêter une minute. J’étais épuisée, c’est sûr, mais j’avais réussi et pas si longtemps après avoir chaussé mes baskets pour la première fois puisque dans les semaines qui suivaient j’avais déjà vraiment amélioré mon temps et mon endurance. C’est ce qui m’a convaincu dans la course à pied, cette capacité qu’à le corps à s’améliorer si rapidement et c’est ce qui a fait que le footing est devenu une véritable priorité pour moi, un moment à moi, pour moi.

Aujourd’hui, quand je cours je me sens libre, je ressens une sensation de légèreté, je me sens forte, et je me sens fière de ce que j’accomplis. Et cette fierté que je ressens est d’autant plus forte, plus marquée, que j’ai toujours été la non sportive, celle qui était toujours dispensée, et aujourd’hui j’étonne mes proches. Je m’apprête d’ailleurs à courir ma première course, le 10km de Fréjus, seulement 3 mois après avoir couru pour la toute première fois.

Courir est la base de mon entrainement, retrouvez sur mon blog les bienfaits de la course à pied, mes conseils pour débuter et les transformations de mon corps!





jeudi 26 juin 2014

Les bienfaits des flocons d’avoines


C’est quand j’ai commencé à bien m’intéresser au sport, et aux fitspos surtout, que j’ai constaté la popularité du flocon d’avoine chez les sportifs. Je suis sur instagram plusieurs comptes pour me « motiver » et me montrer de quoi j’aurai l’air quand je serais une aesthetic chick et il y a de nombreuses recettes healthy spéciales sèches ou spéciales gain de masse, on y trouve des recettes à base de beurre de cacahuètes, de fruits, de poulet et de flocons d’avoine…

Pourquoi ces petites céréales sont-elles devenues si populaires au sein de la communauté sportive ?

crédits © plurielles
J’ai donc fait quelques recherches avant de commencer à en manger régulièrement et l’enthousiasme des sportifs pour les flocons d’avoine est dû aux formidables valeurs nutritionnelles de l’avoine, en effet c’est une céréale qui convient parfaitement aux sportifs qui cherchent à prendre de la masse mais aussi à ceux qui souhaitent sécher (comme moi !), elle est donc adaptable selon les besoins ! Ce qui lui confère cette forte popularité.

En quoi l’avoine est-elle une céréale idéale pour les sportifs?  (Pour les plus feignants, il y a un récap en fin d’article)

·      L’avoine est une source exceptionnelle de fibres. Manger de l’avoine facilite donc le transit intestinal, mais pas que. En effet, la présence importante de fibres dans la céréale ralentit l’absorption des glucides, c’est-à-dire des sucres, ce qui a pour conséquence de diminuer la glycémie (le taux de sucre dans le sang) et donc les besoins en insuline. Le rôle de l’insuline est de faire pénétrer le sucre dans nos cellules afin de réduire le taux de sucre dans le sang et de le ramener à la normale. Plus l’indice glycémique d’un aliment est élevé, plus le pic d’insuline provoqué par sa consommation sera brutal, ce qui à court terme favorisera le stockage des graisses et mènera possiblement à un diabète de type 2 à long terme. Les fibres contenues dans l’avoine provoquent aussi un effet de satiété, idéal en période de sèche puisqu’il permettra d’éviter les fringales et donc les grignotages.

·      L’avoine est riche en glucide à faible indice glycémique, ce qui fait de cette céréale un sucre lent, qui met plus de temps à être assimilé par notre corps. Il contient de bonnes graisses et des protéines, qui doivent être associées à d’autres afin de bien pouvoir être assimilées. Voilà pourquoi on parle toujours de manger ses flocons d’avoines avec du fromage blanc !!

Les flocons d’avoines sont les amis des sportifs, mais pas que !

En effet, outre les bienfaits de l’avoine pour les sportifs, cette céréale est pleine de ressources pour les autres aussi !

·      Sa forte teneur en vitamine B (tout comme les autres céréales) permet un bon entretien des cellules nerveuses et nous donne donc une belle peau !!! Je ne peux pas, pour ma part, confirmer cette thèse car j’ai commencé à manger des flocons d’avoines quelques semaines après m’être mise sérieusement au sport, et ma peau était déjà bien plus belle… (Surtout que je me suis aussi arrêtée de fumer au même moment ! COMBO belle peau)

·      L’avoine est riche en fibres, oui mais surtout riche en beta-glucane, une fibre soluble qui contribuerait à baisser le taux de cholestérol sanguin. C’est une information qui reste cependant controversée.



Attention !

·      Si vous êtes intolérant au gluten, ne mangez pas d’avoine, cette céréale en contient énormément !

·      Il ne faut pas confondre flocon d’avoine et son d’avoine ! Le son d’avoine représente l’enveloppe du grain, et le flocon représente le grain. Les fanas du régime Dukan connaissent très bien le son d’avoine, puisque le docteur préconise d’en consommer deux cuillères à soupe par jour, il aurait des vertus amaigrissantes de par sa capacité d’absorption qui provoquerait un sentiment de satiété et grâce à sa forte teneur en fibres. Ne vous laisser pas berner par ce « soi-disant » docteur, le son d’avoine contient en effet énormément de fibres mais celles-ci ne peuvent pas toutes êtres assimilées par le corps et les flocons sont tout aussi absorbants… Il n’y a rien de mieux que les flocons (je rappelle tout de même que je ne suis pas nutritionniste ni diététicienne et que je partage seulement mon point de vue ici).


En bref, manger des flocons d’avoine pourquoi ?


  •  Faciliter le transit
  • Limiter l’absorption des sucres
  • Se sentir rassasié
  • Absorber de bonnes graisses et des protéines
  • Avoir une belle peau
  •  Limiter son taux de cholestérol
  • Et surtout parce que c’est bon !!!

En faisant mes recherches pour cet article, je suis tombée sur une anecdote bien rigolote : En 1755, on trouvait dans le dictionnaire anglais la définition de l’avoine comme d’une céréale consommée par les écossais mais que les anglais ne donnaient qu’à leurs chevaux. Ce à quoi les écossais ont répondu : « Voilà pourquoi l’Angleterre a de si bons chevaux, et l’Ecosse, des hommes aussi admirables ! ».